Deuxième tentative de cuisine : la tarte tatin (semi-réussite)

J’ai essayé une fois de préparer la tarte tatin, ce dessert qui dit-on est facile à cuisiner. Il faut dire que ces derniers temps, mon défi est d’essayer quelques recettes que je trouve. Celle-ci est ma seconde expérience en matière de cuisine et elle a été à moitié réussite.

tarte tatin

Une recette paraissant toute facile

Mes proches ont souvent vanté les mérites de ce dessert bon marché et simple à préparer. Et bien oui, quoi de plus facile que de caraméliser les pommes au beurre et au sucre avant de cuire la tarte en elle-même. En théorie, c’est vraiment un jeu d’enfant, mais quand on s’y essaie ce n’est pas toujours évident, surtout quand on essaie une recette revisitée. D’où la semi-réussite !

Les ingrédients

La tarte tatin façon Michalak nécessite quelques ingrédients qu’on peut trouver partout. Le mieux est de commencer à préparer la pâte feuilletée semi-rapide avec :

– 15 g de sel

– 200 g de beurre froid coupé en morceaux

– 200 g de beurre de tourage

– 500 g de farine

– 1 c à s de vinaigre blanc

Mode d’emploi

Après avoir versé tous les ingrédients, excepté le beurre de tourage dans la cuve du robot batteur, mélangez-les pendant 30 secondes à petite vitesse. Puis, formez une boule avec la pâte obtenue, enveloppez-la dans un film et mettez-la au réfrigérateur pendant 30 minutes.

Entre deux feuilles de papier de cuisson, versez les 200 g de beurre de tourage de manière à obtenir un rectangle et mettez au frais 30 minutes.

Une fois que vous aurez abaissé la pâte en un grand rectangle, étalez le beurre sur les 2/3 de la pâte, pliez la en 3 sur elle-même et prenez soin de la faire pivoter d’un quart de tour. Faites également en sorte que l’ouverture du pliage se retrouve à droite.

pâte tarte

Etalez une fois de plus la pâte dans la longueur et faites rejoindre la partie inférieure au milieu puis la partie supérieure par-dessus. Pliez ensuite le rectangle en deux et réalisez une deuxième fois ce tour double en tournant la pâte d’un quart de tour. Ajoutez-y un film avant d’entreposer au réfrigérateur pendant 30 minutes.

Préchauffez le four à 180° C, placez la pâte sur 2 mm d’épaisseur et détaillez en disque de pâte que vous étalerez sur une plaque de cuisson. Recouvrez d’une feuille de cuisson et d’une grille et mettez au four pendant 35 minutes.

Retirez ensuite la grille et le papier, saupoudrez de sucre glace et replacez au four 5 minutes à 250° C. Laissez refroidir sur une grille.

Et la garniture ?

Pour la garniture de la tarte, il faut :

– 5 pommes ( golden)

– 45 g de crème fraîche liquide

– 100 g de sucre

– 30 g de beurre

– 2 feuilles de gélatine

Mode d’emploi

Coupez les pommes en cube après les avoir épluchées, puis poêlez-les avec le sucre et le beurre.

Ramollissez les feuilles de gélatine dans un bol d’eau froide.

Caramélisez le sucre dans une casserole, puis faites bouillir la crème liquide et mélangez-la au caramel. Faites bouillir le mélange en mélangeant avec une spatule.

Etalez le caramel dans un bol, ajoutez-y la gélatine essorée puis les pommes poêlées dans le caramel. Mélangez.

Placez un papier de film alimentaire dans un moule rond de 18 cm de diamètre et coulez-y la préparation. Mettez au congélateur pour une heure.

Placez le palet de pommes sur la pâte feuilletée et versez la sauce au caramel. Servez tiède.

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Une envie d’un second bébé : les questions que je me pose

Quelques années après mon accouchement l’envie d’avoir un second bébé m’est passée dans la tête. Avant d’entrer encore une fois dans cette aventure, j’ai bien réfléchi et je me suis posé pas mal de questions puisque le fait de multiplier la famille n’est pas un jeu. Il y a beaucoup de choses à considérer. Cela m’a amené à constater que c’est une dure décision qui ne se prend à la légère !

Est-ce que mon âge ne va pas poser un problème ?

Le fait de ne plus penser à avoir d’autres enfants peut poser des problèmes de fertilité, car l’âge ne cesse de s’accroitre et il sera plus difficile de tomber enceinte. Ce qui m’a vraiment fait peur c’est le risque de fausse couche qui pourrait être décevant pour moi et mon mari. J’ai alors fait quelques recherches où j’ai découvert qu’il est préférable pour une femme d’accoucher de son premier bébé à 28 ans, puis du deuxième à 30 ans. Donc, ce serait plus risqué de mettre au monde un bébé si j’attends d’avoir 35 ans ou plus.

Comment va réagir l’aîné en apprenant l’arrivée du second bébé ?

En réalité, il n’y a pas d’écart d’âge universel, mais à chaque parent de décider ce qui est le mieux pour eux. Cet aspect ne m’a pas vraiment dérangé, la question que je me suis posée c’est : quelle va être la réaction de l’ainé en voyant mon deuxième enfant. Ainsi, je me suis préparée au fait qu’il faudrait un jour ou l’autre l’annoncer à l’ainée pour qu’il n’y ait pas de rivalités enfantines entre eux. En voyant ce qu’ont vécu les autres membres de ma famille dans la même situation, j’ai pris la décision de ne pas attendre longtemps pour accoucher de mon deuxième enfant pour qu’ils grandissent ensemble.

Est-ce que mon époux est prêt à avoir un deuxième enfant ?

Cette question est très importante puisqu’avoir un enfant ne concerne pas seulement la mère. C’est une grande responsabilité pour nous deux, donc j’ai d’abord demandé son avis, car je crois que la peur d’avoir un second enfant lui ronge aussi. Même si l’envie de porter à nouveau dans mes bras un bébé me titille, l’accord de mon mari est crucial pour le bien de notre famille.

Comment se passerait mon deuxième accouchement ?

J’ai vraiment hésité à l’idée d’avoir un autre enfant, car il m’a fallu un certain temps pour me remettre de l’accouchement précédent. Il y a eu des nuits blanches et des moments de fatigue. J’ai peur de faire une dépression du post-partum comme la plupart des jeunes mamans. En tant que mère, je serais toujours inquiète pour mes bébés, donc avec deux enfants ce serait plus difficile de gérer la situation. Sans parler du fait que mon premier enfant a eu la scarlatine, je me demande si ce deuxième va aussi en avoir.

Qu’en sera-t-il de ma vie en général ?

Comme pour mon premier bébé, mettre en route un deuxième enfant aura toujours un effet sur mon travail. En ce moment j’ai appris à gérer mon temps, le petit part en crèche et je peux partir travailler tranquillement. Lorsqu’on a pris la décision, tout a changé avec mon chéri, on a fait une deuxième lune de miel. Mais j’ai tout de même un souci sur ma façon de concilier vie personnelle et vie professionnelle tout en ayant deux enfants à la maison. Il y aura aussi un changement côté finance, car les dépenses pour les couches, la garde, et la santé va également augmenter. C’est dur d’être femme active tout en s’occupant de son foyer, mais ce serait un réel bonheur quand je verrais la joie de mes enfants.

J’ai commandé des fleurs à faire pousser cet été !

Comme l’été approche, j’ai passé des commandes plutôt inhabituelles, celles de fleurs à faire pousser. Je ne suis pas une jardinière professionnelle ni une vraie connaisseuse en horticulture, mais j’ai ma petite idée là-dessus. Fervente adepte de l’écologie, je veux faire d’une pierre deux coups : celui d’avoir un beau jardin et celui d’offrir aux abeilles de belles plantes mellifères.

Des fleurs, commencer par les plus simples à planter

Ce projet me tient vraiment à cœur, j’ai vraiment envie d’apporter ma participation à l’environnement et à aider ces petits insectes qui assurent la biodiversité. Ainsi, je me suis renseignée sur les plantes mellifères qui sont assez faciles à planter. Je ne m’estime pas avoir les « mains vertes » mais avec quelques recommandations venant des personnes auxquelles j’ai commandé les fleurs, je pense pouvoir m’en sortir avec succès.

Comme la campagne de graines de trèfles est terminée, et que je n’ai pas la grande espace adéquate. J’ai pensé à des plantes plus faciles à planter, mais dont l’utilité apicole est reconnue. Une plante comme la vipérine pourra faire l’affaire, surtout qu’elle est réputée pour son nectar, très recherché par les abeilles. Cette plante fera alors partie de mes commandes, parmi d’autres.

Joindre l’utile à l’agréable

De beaux balcons ornés de fleurs, ça m’a toujours impressionné ! Je reste « baba » devant un tel spectacle que j’ai décidé d’en offrir au mien. Pour avoir un balcon fleuri, je me suis référée à certains sites dans lesquels des paysagistes et des horticulteurs exposent si bien la belle façon d’en avoir.

Les plus beaux conseils que j’ai pu retenir sont plutôt faciles à faire. Avant toute plantation, il faut choisir les conditions idéales : l’exposition et le vent. Le mieux est de commander des fleurs qui ont les caractéristiques suivantes : de belles couleurs et de beaux parfums. Je dois aussi m’organiser pour les arroser régulièrement et je dois chercher de grands bacs pour leur permettre d’être mieux aérées. Une plante à floraison permanente, ce n’est pas mal, mais je dois aussi varier les plantes pour des floraisons différentes à des moments différents. Mais surtout, je dois m’investir dans des terreaux et de l’engrais pour assurer une bonne croissance et de belles floraisons.

Une belle façon d’aider les abeilles

Une addicte de la « petite cuillère de miel » par jour et soucieuse de l’environnement, je pense que planter des fleurs est un devoir. Récemment, j’ai pu lire des documents qui parlent de la disparition des abeilles, celle qui va affecter toute la planète si certaines mesures ne seront pas prises. Je ne me soucie pas seulement de ma ration quotidienne de miel, mais surtout de la biodiversité. Et je pense que planter est un vrai acte de citoyenneté.

Quand on pense qu’il suffit d’adopter les bons gestes pour sauver l’apiculture, je suis encore plus motivée pour jardiner. Des lois sur l’utilisation des pesticides sont prises, la lutte contre les frelons asiatiques est engagée, il nous reste de planter des plantes mellifères pour apporter notre contribution à notre chère planète. Moi, je me suis décidée de le faire !

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Un cadeau pour l’anniversaire de mon copain

Chercher un cadeau d’anniversaire pour copain a été un peu difficile puisqu’on dit que les hommes ne sont pas faciles à satisfaire lorsqu’il s’agit de leur faire des achats. Je n’avais aucune idée sur le cadeau idéal pour son anniversaire. Je vais vous raconter dans cet article les efforts et les choses que j’ai fait pour arriver à lui faire plaisir. L’amour nous pousse à faire des choses incroyables !

Je prends en considération sa passion

Pour trouver le cadeau idéal, je me suis d’abord référée sur ses centres d’intérêt et ses passetemps. Après avoir découvert ce qui l’intéresse, j’ai effectué quelques recherches sur Internet et j’ai pu lire de différents documents qui y font allusion. De divers sites web m’ont permis d’avoir plus d’idée sur le cadeau à lui offrir qui soit plus affilié à sa passion. Il y en a des communautés en ligne qui correspondent à tous les types de passetemps qui peuvent exister.

En sachant qu’il pratique le skateboard, j’étais tenté de lui offrir un article qui en parle. Heureusement un de ses amis m’a conseillé que ce ne serait pas une bonne idée puisqu’il en joue chaque jour, cela n’aura donc aucun impact sur lui. Il fallait chercher quelque chose qui va vraiment l’impressionner.

Encore une fois, je me suis tournée vers internet et c’est là que je suis tombée sur de nombreux modèles de coupe-choux, j’ai pensé qu’il en aura besoin pour se faire beau au quotidien, mais le seul hic c’est que j’avais une petite hésitation, car il va peut-être penser que je crois qu’il ne se rase pas correctement ! Ce n’était que mon imagination qui me joue des tours, tout compte fait j’ai pris un coupe-chou plutôt original et pratique, mais je ne me suis pas arrêtée là, je voulais encore donner à mon petit ami un autre cadeau qui soit inoubliable et qui démontre mon amour.

Un cadeau qui aura une valeur sentimentale

En fait, quel que soit le cadeau que j’offrirai à mon chéri, il va surement l’apprécier. Mais pour que ce soit plus inoubliable, j’ai préparé un magnifique présent qui reflète les souvenirs des bons moments que nous avons partagés. Il s’agit d’un collage de photos de nous deux qui résume notre histoire. Ce n’est pas tout, j’ai fait une vidéo des merveilleux moments qu’on a passés avec tous nos amis et notre famille.

On m’a également conseillé de planifier une activité qu’on fera ensemble et qu’il va adorer. C’est pourquoi j’ai décidé de partir en week-end en amoureux. Cela tombe bien, car avec le rythme du quotidien il a besoin de se détendre un peu, donc on est parti à la campagne contempler la beauté de la nature et profiter de ce beau moment ensemble rien que nous deux ! On a pu nous retrouver et renforcer notre amour. Il a bien apprécié ce cadeau, c’était pour lui une belle surprise.

D’après les blogs que j’ai lus sur le web, il vaut mieux éviter les cadeaux qui sont classiquement mauvais. Donc, je n’ai pas acheté à mon copain une cravate ou une montre ou quelque chose de ce genre pour son anniversaire. Par contre, le jour J, je l’ai invité à aller dans un restaurant insolite pour un moment cool et romantique. C’était le meilleur cadeau que j’ai fait à mon copain puisqu’on a beaucoup ri et on s’est bien amusé. Tout était parfait ! Suite à cette belle expérience, je me suis convaincue que préparer quelque chose de personnel est plus intéressant que d’offrir des produits pour son copain.

J’utilise des porte-manteaux qui s’accrochent aux portes

Il existe différents types de porte-manteaux. Leur type est défini par différentes caractéristiques. Comment s’appellent les portes manteaux qui s’accrochent aux portes ? Nous allons y répondre dans les prochains paragraphes.

Porte-manteaux à suspendre pour porte

Pour répondre directement à la question posée, les porte-manteaux qui s’accrochent aux portes s’appellent porte-manteau à suspendre. Ce sont des modèles très pratiques, car ils ne prennent pas beaucoup de place. Ils conviennent donc parfaitement aux petits espaces et surtout dans un appartement. Par ailleurs, ils sont faciles à trouver et souvent pas chers.

Les porte-manteaux à suspendre peuvent être composés de différents matériaux. En effet, on peut en trouver en bois, en plastique, en aluminium et même en acier. Vous pouvez donc choisir celui qu’il vous faut pour qu’il s’accorde à vos besoins et à votre décoration en général.

Cependant, quelques paramètres sont à prendre en compte avant d’acheter un porte-manteau à suspendre. Si nous ne devions en parler que d’un seul de cela, ce serait de prendre en compte l’épaisseur de la porte. Effectivement, si celle-ci est trop épaisse, vous ne pourrez installer votre porte-manteau à suspendre, tandis que si c’est le contraire, il ne sera pas stable.

Avantages

Ce type de porte-manteau est très avantageux et convient parfaitement aux différents besoins que l’on peut avoir dans une maison. Ces avantages sont considérables si son utilisation reste basique.

Premièrement, il est très facile à installer. Pour ce faire, il vous suffit de l’accrocher à une porte. De ce fait, vous n’avez pas besoin d’avoir de grandes compétences en bricolage pour procéder à son installation. En fait, vous n’aurez besoin de rien d’autre pour le faire si ce n’est une chaise si vous êtes de petite taille.

Le deuxième avantage du porte-manteau à suspendre c’est qu’il n’y a pas besoin de percer les murs. En effet, c’est une condition intéressante, car on n’a pas toujours envie d’abimer nos murs en les chevillant pour fixer un élément. De plus, cela vous évite d’avoir à manier une perceuse ou tout autre outil.

Enfin, le porte-manteau à suspendre possède de nombreuses patères. C’est un détail important, car pour définir la qualité de ce dispositif de rangement, il est important de déterminer combien d’éléments peut-on y accrocher.

Inconvénients

Cependant, tout n’est pas rose avec les porte-manteaux à suspendre. Son premier inconvénient est qu’il peut abimer le bois de la porte. Effectivement, les nombreuses frictions pourront sur le long terme rayer, voir détériorer la qualité du bâti de porte ou de la porte elle-même.

L’autre ombre au tableau pour ces meubles de rangement est qu’ils restent limités et permette de gagner du temps dans le rangement. En effet, si les crochets de soutien ne sont pas assez solides, les porte-manteaux à suspendre ne peuvent accueillir que peu de choses.

Enfin, ce type de porte-manteau ne convient également pas à toutes les pièces de la maison. Par exemple, vous ne pouvez pas l’installer dans votre salon. La raison est que c’est un espace où l’on ne trouve généralement pas de porte. Par ailleurs, c’est une pièce où l’on va et l’on vient beaucoup et il serait donc impossible d’accrocher quelque chose à son entrée.

Comment aider une personne dans le deuil ?

Rien n’est plus difficile que de trouver les bons mots pour consoler une personne dans le deuil. Et quand ma meilleure amie a perdu sa mère, j’ai eu du mal à adopter les bons gestes et à dire les bonnes phrases pour l’aider dans un tel moment. Certes, c’est une situation qui n’est pas anodine mais il faut savoir apporter son aide, mais dans les règles de l’art, comme on dit.

Venir en aide à une personne dans le deuil, une mission délicate

Quand un décès survient dans la famille, la douleur est si intense qu’on oublie souvent l’essentiel : l’organisation des obsèques. J’ai été avisé par mon amie elle-même quand elle venait de perdre sa maman. Moi aussi, j’avais eu du mal à imaginer sa douleur, mais j’avais vraiment l’envie et le devoir également, de l’épauler dans ces moments difficiles.

Comme c’est le premier décès auquel elle doit faire face en tant qu’adulte, elle s’est sentie perdue. Mais moi, en tant que confidente et amie, je devais garder la tête froide et l’aider dans ce moment difficile. Pour ce qui est de l’organisation des obsèques et de tous les détails administratifs, je lui ai conseillé d’aller voir le guide proposé sur le site de France Tombale qui apportera toutes les réponses.

L’assister dans cette épreuve

Pour arriver à faire son deuil, il y a des étapes auxquelles la personne doit passer. J’ai essayé d’être la plus sincère possible, avec ma compassion, avec mon aide pour être la plus rassurante. Je lui ai proposé mon aide, à ma façon, en lui proposant de m’occuper de quelques détails. Dans ces moments, les mots ne suffisent pas, rendre quelques services, être disponible pour lui prêter les oreilles sans toutefois jouer le rôle de psy, sont essentiels.

Le plus dur est quand sa mère n’était plus là et que les funérailles se sont achevées. Ce manque, cette absence n’arrivent pas à avoir un nom. Mon rôle a été de l’aider dans cette étape, car ce qu’elle avait le plus besoin, c’est de la chaleur humaine, de l’empathie et de la compassion. De la disponibilité et une oreille active, je lui ai donné. Et avec une patience dont moi-même ne reconnais pas, j’ai pu l’écouter parler de sa défunte mère.

Quand les bons mots…soulagent !

Quand on apporte l’aide à une personne dans le deuil, le plus dur est de trouver les bons mots. Je n’ai pas cherché dans un manuel, d’ailleurs, je crois que cela n’existe même pas, mais pour mon amie, j’ai bien choisi ceux avec lesquels je pourrais apaiser sa douleur. Ainsi, la première phrase qui m’est venue est celle de la compréhension : « Je sais que tu souffres tellement ». Pour lui exprimer ma solidarité, je lui ai dit « Je suis vraiment désolée », la formule magique dans des cas pareils, mais qui l’est encore plus quand c’est dite avec sincérité.

Certes, je me sentais mal à l’aise par rapport à sa douleur, mais avec une phrase du genre « Je suis là pour toi », je me suis engagée dans mon rôle de meilleure amie qui est toujours disponible en cas de besoin. Avec des larmes qui n’en finissent pas, je lui ai demandé « Est-ce que tu veux parler d’elle ? » pour lui témoigner ma patience, celle qu’une confidente aura à partager des souvenirs heureux ou des moments douloureux d’une amie !

Comment je gagne du temps au quotidien ?

Comme tout le monde, on n’a tous que 24 heures pour une journée et la moitié est celle pendant laquelle on est en activité. Moi, j’ai pu gagner du temps en adoptant quelques dispositions. Entre ma profession, mes enfants et la maison, j’avais du mal à m’organiser. Seulement, avec de bonnes astuces, j’ai pu faire mieux.

Gagner du temps commence par changer les habitudes

Le timing est très important pour pouvoir faire et finir certaines tâches. Autrefois, j’étais la reine de la procrastination, et je me suis perdue dans mes activités, même celles du foyer. Mais depuis que j’ai décidé de changer mes habitudes, mes gestes semblent être plus naturels, et plus efficaces évidemment.

Le secret d’une bonne gestion du temps réside dans une pratique : se lever plus tôt permet d’avoir une idée claire pour entamer la journée. Certes, il est difficile d’avancer votre réveil d’une ou de deux heures, mais avec une bonne volonté, vous y arriverez. J’ai pu finaliser tous mes projets pour la journée ainsi, et avec succès en plus, car j’ai plus de temps de tout vérifier avec la satisfaction comme bonus en fin de journée.

Déléguer devient un mot d’ordre

Notre plus grande erreur est de vouloir tout faire, toute seule ! Si j’étais réticente au début, j’ai essayé de solliciter l’aide d’une femme de ménage auprès d’une agence de ménage telle que Dwého. Et avec la satisfaction en prime, je me suis focalisée sur mes obligations professionnelles sans être « dispersée ». Oui, il faut savoir déléguer les tâches et avoir droit à un gain de temps de quelques minutes, voire de quelques heures.

Mais j’ai pu également expérimenter les avantages du numérique. Devenue adepte des applications qui faciliteraient la vie, j’ai décidé d’engager un assistant virtuel. Une chose tout à fait nouvelle pour moi, mais c’était une bonne découverte. En effet, qu’importe l’endroit où je me trouve, mon assistant virtuel arrive à me contacter et à gérer mes tâches en ligne. D’autant plus, je n’avais plus besoin d’engager un employé, ce qui m’a permis de faire des économies.

« Tout noter » est recommandé !

Gagner du temps passe essentiellement par une bonne organisation, et tout noter permet de ne rien oublier, encore mieux, de planifier la journée. On connaît les Post-It qui sont collés sur tout le frigo ou la petite ardoise prêtée par nos enfants pour servir de pense-bête. Mais j’ai découvert un autre support, encore plus efficace et encore plus simple à gérer, tenir un Bullet Journal est la meilleure des astuces.

Beaucoup de femmes, qu’elles soient femmes au foyer, entrepreneures ou salariées, ont adopté cette nouvelle méthode. J’ai fait pareil et j’ai trouvé qu’avec cet Organizer personnalisable, je me suis bien avancée dans mes tâches, sans oublier aucune. Et j’ai pu également mesurer ma productivité, avec une certaine satisfaction, bien sûr !

Si vous n’êtes pas encore convaincue, je vais vous partager les atouts d’un tel dispositif. Des projets et idées bien clairs sur un seul et même support, un support « tout en un » qui peut se glisser dans votre sac et être toujours à votre portée. J’ai constaté moins de stress en tout planifiant avec la « tête reposée » pour entamer une nouvelle journée chaque matin. J’ai pu également gagner en « estime de soi » avec une plus grande satisfaction quand chaque tâche soit finie et quand chaque objectif atteint. C’est devenu une vraie biographie que vous pourrez feuilleter.

Baisse de moral : quels sont mes conseils pour positiver ?

Un temps morose, une épreuve mal vécue et la baisse de moral pointe son nez ! En dents de scie, on est souvent sujet à cette petite déprime qui nous fait brouiller dans le noir et que l’on n’arrive pas souvent à se défaire. Et pour « positiver », il y a certaines astuces qui marchent pour pouvoir revoir la vie en…rose ou, du moins, pour chasser ce nuage gris pendu sur notre tête.

La baisse de moral, quelles en sont les causes ?

On est tous passé par là, cette déprime qui se traduit souvent par une mélancolie profonde, par un repli sur soi, par des sauts d’humeur voire des larmes inexpliquées, atteint même ceux qui se croient forts. Cet état est, en général, dû à une fatigue accumulée ou à une lassitude intense, qui résulte d’un surmenage physique ou cérébral. Des périodes stressantes engendrant de l’anxiété sont aussi des responsables de ce moral en berne.

Un changement de situation, personnelle ou professionnelle, peut également perturber le moral, entre autres une séparation ou un divorce, un licenciement ou autres. Mais on l’inculque aussi à la saison car passer d’un grand soleil à un temps morose, froid et pluvieux, influe fortement sur votre humeur.

La morale en berne, comment y faire face ?

La première chose que vous ressentez quand vous avez le moral en berne, c’est de vous voir…horrible, alors prenez soin de vous et accordez-vous des moments pour s’occuper de votre « petite personne ». La meilleure motivation qui arriverait à vous enlever ces idées noires de votre tête est celle de se concentrer sur vos projets, oui, cela permet d’aller de l’avant et de vous… « reprendre ».

Quelques astuces qui pourraient vous aider consistent à mettre de la couleur dans votre chambre, sur vous avec des habits aux teintes criardes, vous donnant du pep. Vous devez également vous entourer de personnes aux bonnes ondes, le bonheur est contagieux et avoir des amis avec de « Good vibes » qui rient, qui chantent, qui vous entrainent à faire des choses plaisantes, est le parfait remède pour vous défaire de votre déprime.

Une bonne hygiène de vie

Combattre la baisse de moral ne se résume pas seulement à l’adoption de bonnes attitudes, vous devez également adopter une bonne hygiène de vie. Cela commence par une bonne alimentation et ôtez de vos assiettes les graisses trans et les graisses saturées, préférez les aliments riches en oméga 3, en fruits secs, en sélénium dans les amandes et les noix.

Faites également une cure de magnésium et de vitamine B6, parfaits pour l’équilibre du système nerveux, pour diminuer les sauts d’humeur, pour avoir un bon sommeil, pour réduire le spleen du début de l’automne ou de la fin des vacances. Mais vous devez vous aérer, prenez le temps de prendre l’air et sortez pour vous changer les idées. Vous pourrez commencer par humer l’air de votre jardin, ensuite, passez chez le boulanger prendre le pain et échangez quelques mots avec les voisins, prenez un verre avec un ou une amie et laissez-vous aller !

Mes outils de communication pour mon business

Les outils de communication jouent un rôle très indispensable pour le développement de vente d’une entreprise. Tout le monde possède ces propres outils, mais j’ai spécialement trié les miens afin de me faciliter les tâches. Du coup, je vous propose d’utiliser les mêmes outils si vous voulez mieux transmettre vos messages vers vos clients cibles.

Qu’est-ce qu’un outil de communication ?

Avant de vous citer les outils que j’ai utilisés pour mon entreprise, il faudrait tout d’abord que je vous définisse un outil de communication. Pour ma part, je peux tout simplement dire que l’outil de communication est un support qui diffuse des informations et des messages pour des clients cibles. Ainsi, ces supports devront être très pertinents pour intriguer la curiosité de l’internaute. Sans plus attendre, voici donc les outils de communication que j’utilise en termes d’information et de diffusion de message.

Les prospectus sont de bons outils de communication

La distribution des prospectus est l’une des anciennes méthodes de communication que je trouve encore fiables. Le plus gros avantage des prospectus c’est qu’il se répande assez facilement et assez vite dans le quotidien. Les gens et surtout les publics ciblés seront vite prévenus de mes nouvelles prestations. En plus de tout cela, les coûts de la réalisation de ces supports sont moins importants.

Pour faciliter au mieux ma technique, j’ai profité de plusieurs occasions évènementielles afin de mettre en place mes produits. Pour cela, j’ai mieux cerné mes clients; par la suite il me suffit de distribuer mes prospectus. Quant à la distribution de ces supports, j’ai juste sollicité l’aide de mes proches, de mes amis et de quelques collaborateurs.

Une autre technique identique qui m’a aussi servi est l’utilisation des vinyles adhésifs. Ils sont beaucoup plus modernes et promettent plus d’attirances. Il existe tout de même plusieurs formats de vinyle adhésif qui se colleront facilement sur toutes les surfaces. En général, ils sont classés sous deux formes bien distinctes : il y a le vinyle teinté dans la masse, et il existe également le vinyle imprimé. Quoi qu’il en soit, le vinyle adhésif m’a permis d’avoir la forme de découpe voulue telle que les logos, les lettres et d’autres illustrations.

Les outils de communications externes

J’utilise beaucoup l’outil de communication externe, car cela me permet assez facilement de maitriser les ventes. Lors de ma dernière réunion de réseautage, nous avons échangé quelques idées et j’avais profité du moment pour distribuer ma carte. J’ai tissé un grand lien avec les autres entrepreneurs et il me suffit d’assaisonner le tout avec la carte de visite. L’indispensable carte visite m’a tout simplement permis de renforcer les relations avec mes collègues qui sont devenus un de mes clients.

Il existe également d’autres supports que j’utilise pour assurer ma présence en sein du marché. Pour cela, j’ai créé vite fait un site internet qui me permettra d’être présent et visible sur le web. Ainsi, mes clients verront facilement mes services ainsi que les nouvelles offres proposées. Je n’aime pas trop compliquer les choses et j’ai tout simplement opté pour un site vitrine pour décrire facilement mon entreprise et les services que je pourrai offrir.

Pour couronner le tout, j’ai fait exprès de mettre des liens externes qui renvoyaient mes internautes sur mon beau site. J’ai donc choisi les réseaux sociaux qui sont des excellents outils de communication. Sur ce, j’ai utilisé Facebook et il me suffit de créer un groupe Facebook pour réunir tous les clients qui sont intéressés par mes services. Ce système me permet en même temps d’étudier les comportements de mes clients vis-à-vis les produits et services que je propose dans mon site.

Expérimenter le développement personnel par la danse

Qui a pensé que la danse serait un moyen efficace pour le développement personnel ? J’étais du genre « pied gauche » quand il s’agit de faire bouger mon corps, avec une certaine rigidité. Mais quand j’ai sollicité les services d’un coach pour pouvoir focaliser mon énergie afin de retrouver l’estime de soi, il m’a proposé la danse comme support. Étonnée au début, je me suis aperçue ensuite que c’est la manière idéale pour s’exprimer et procure un bien-être…fou !

Les expressions corporelles comme développement personnel

Il est erroné de dire que le cerveau, le cœur et le corps sont des éléments individuels. On peut très bien « guérir » l’un en boostant l’autre, et quand les mots manquent, il y a les gestes qui permettent de s’exprimer. J’en ai fait l’expérience et cela m’a fait vraiment du bien. Un évènement qui a chamboulé tout mon être que j’ai dû chercher le meilleur moyen, autre que de passer une demi-journée sur le divan d’un psy à parler de mon enfance. Ainsi, j’ai découvert la danse pour me libérer de certaines émotions, pour m’écouter et surtout pour retrouver la confiance en moi.

Si le coach m’a dit qu’en dansant, le corps et l’esprit sont en connexion, j’ai été sceptique. Mais dès la première séance, j’ai senti une certaine légèreté qui n’entrave pas le dynamisme et cela a engendré de la joie en me sentant…vivante. C’est tellement vrai si les scientifiques disent qu’en bougeant, on libère des hormones qui procurent du plaisir !

La danse-thérapie, un concept bénéfique

Si j’ai choisi une telle approche, c’est parce que la danse-thérapie commence à faire parler d’elle. Et ces quelques gestes, sans que je puisse me fier au regard des autres, m’ont permis de retrouver une certaine confiance en moi : le narcissisme sain. Si autrefois, quand je me sentais fatiguée et stressée, c’est sous la couette ou dans le frigo que je pensais trouver la paix. Mais avec cette méthode, j’ai pu me défaire de la lassitude en dansant avec un rythme moins soutenu.

Introvertie, je l’étais en m’enfermant dans ma bulle. C’est grâce à cette formule que j’ai pu communiquer avec les autres en m’ouvrant à eux, avec la danse comme code. Mais l’avantage le plus important, c’est d’avoir pu dire « oui » à la vie. Trop penser, trop mesurer et trop se retenir ne sont plus que des souvenirs, j’arrive maintenant à avancer sans trop…réfléchir et trouver des obstacles partout.

La danse dans tous ses états

Quand on parle de développement personnel, on a toujours tendance à penser « succès » alors que l’être souffre. Avec la danse, j’ai découvert que l’on peut atteindre le « summum » du bien-être avec des gestuels. Comme rythme, j’ai tout essayé pour faire la différence, même si toutes les cadences ont chacune des avantages, à savoir staccato, lyrique, fluide, lyrique et quiétude.

Pour ce qui est de l’exploration, on peut opérer en solo, en duo ou en groupe. Il y a plusieurs types de danse, mais j’ai essayé la Danse Jazz revisité pour une approche moins…protocolaire. Des ateliers sur le tango dans sa forme art thérapeutique m’ont aussi fait du bien. Mais ce que je suis en train d’expérimenter en ce moment, c’est le « reiki », cette méthode psychocorporelle.